Il voulait lui faire plaisir à tout prix
alors, il avait choisi un papier de riz
et de ses petites mains potelées,
avait enveloppé le gros biscuit de blé.
Son cœur battait en catimini,
il devait attendre jusqu'à midi
pour atteindre la cage de son ami
Personne n'avait deviné son idée farfelue,
celle de lancer au lion du zoo
la gâterie qui le ferait se rouler sur le dos.
Gino tenait serré contre lui l'apéro pour Léo
et son expression de héros
lui fit lever le menton bien haut.
Il passa en courant et lança le bonbon
entre les pattes du lion.
Comme prévu, Léo se roula sur le dos,
dévora le biscuit, le papier de riz, puis...
d'un bond se dressa et lança son *ROOOA*
qui fit tomber Gino en bas de son lit!
Depuis ce temps, Gino ne mange plus de biscuit
avant d'aller au lit !!
"Se lever de son lit demande une énergie formidable,
surtout pour changer de vie" Sylvain Tesson.
Dans les forêts de Sibérie.
Je regarde par le trou de la serrure.
Un monde de possibilités s'ouvre devant moi.
Je n'ai qu'à traverser, faire le premier pas.
En même temps, une envie de faire demi-tour
me submerge; je suis sur le point d'atteindre
ce que je désire, j'hésite.
J'avais dit: "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau."
Je peux faire volte-face.
J'ai peur d'être lâche, faible
et d'appartenir à cette catégorie de morts-vivants
qui se contentent de regarder passer le train.
Le soleil tout là-haut se moque bien de moi.
Il émet sans compter ses innombrables rayons d'amour
pour que toute vie progresse ici-bas.
Avec sa lumière, tout est possible.
Immense gratitude d'être ici, cœur et corps battants.
Je suis à 2,000 pieds d'altitude,
la porte est grande ouverte maintenant.
On me dit que c'est le moment.
Je suffoque, j'ai peur..... JE SAUTE!
À supposer que le parachute n'ouvre pas!
Ce sera la fin.
Un petit pâté humain sur le sol.
Mes joues se secouent,
mes yeux laissent échapper toute l'eau de mon corps
en chute libre. Fébrile, je tremble, je suis
consciente, euphorique, très très euphorique!
La corde est tirée.
Une immense toile se déploie
au-dessus de ma tête heureuse.
Je coule doucement, me dandinant vers le bas.
Plus jamais, je dirai: "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau."
"Se lever de son lit demande une énergie formidable,
surtout pour changer de vie" Sylvain Tesson.
Dans les forêts de Sibérie.
Je regarde par le trou de la serrure.
Un monde de possibilités s'ouvre devant moi.
Je n'ai qu'à traverser, faire le premier pas.
En même temps, une envie de faire demi-tour
me submerge; je suis sur le point d'atteindre
ce que je désire, j'hésite.
J'avais dit: "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau."
Je peux faire volte-face.
J'ai peur d'être lâche, faible
et d'appartenir à cette catégorie de morts-vivants
qui se contentent de regarder passer le train.
Le soleil tout là-haut se moque bien de moi.
Il émet sans compter ses innombrables rayons d'amour
pour que toute vie progresse ici-bas.
Avec sa lumière, tout est possible.
Immense gratitude d'être ici, cœur et corps battants.
Je suis à 2,000 pieds d'altitude,
la porte est grande ouverte maintenant.
On me dit que c'est le moment.
Je suffoque, j'ai peur..... JE SAUTE!
À supposer que le parachute n'ouvre pas!
Ce sera la fin.
Un petit pâté humain sur le sol.
Mes joues se secouent,
mes yeux laissent échapper toute l'eau de mon corps
en chute libre. Fébrile, je tremble, je suis
consciente, euphorique, très très euphorique!
La corde est tirée.
Une immense toile se déploie
au-dessus de ma tête heureuse.
Je coule doucement, me dandinant vers le bas.
Plus jamais, je dirai: "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau."
surtout pour changer de vie" Sylvain Tesson.
Dans les forêts de Sibérie.
Je regarde par le trou de la serrure.
Un monde de possibilités s'ouvre devant moi.
Je n'ai qu'à traverser, faire le premier pas.
En même temps, une envie de faire demi-tour
me submerge; je suis sur le point d'atteindre
ce que je désire, j'hésite.
J'avais dit: "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau."
Je peux faire volte-face.
J'ai peur d'être lâche, faible
et d'appartenir à cette catégorie de morts-vivants
qui se contentent de regarder passer le train.
Le soleil tout là-haut se moque bien de moi.
Il émet sans compter ses innombrables rayons d'amour
pour que toute vie progresse ici-bas.
Avec sa lumière, tout est possible.
Immense gratitude d'être ici, cœur et corps battants.
Je suis à 2,000 pieds d'altitude,
la porte est grande ouverte maintenant.
On me dit que c'est le moment.
Je suffoque, j'ai peur..... JE SAUTE!
À supposer que le parachute n'ouvre pas!
Ce sera la fin.
Un petit pâté humain sur le sol.
Mes joues se secouent,
mes yeux laissent échapper toute l'eau de mon corps
en chute libre. Fébrile, je tremble, je suis
consciente, euphorique, très très euphorique!
La corde est tirée.
Une immense toile se déploie
au-dessus de ma tête heureuse.
Je coule doucement, me dandinant vers le bas.
Plus jamais, je dirai: "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau."