Déchirures dénudées sur une végétation décoiffée
L’insaisissable d’une intimité fracturée
Banni ou rescapé
Retrouvaille en peau
Le vert ce nuance de gifles
bariolées
Sur des épidermes
glacials
Inconfort d’être spectateur
Je quémande des pieds de vents sur la chair
Figé en statut de seul
Au monde
Pieds de vent sur la chair..... Magnifique!
RépondreSupprimerStatue de seul au monde, aussi magnifique!
Merci Chère Hélène!
SupprimerL'unicité de deux corps unifiés... pour le plaisir ou pour... Belle poésie qui chante les louages de l'union.
RépondreSupprimerMerci Cher Mathieu!
SupprimerTrès jolis jeux avec les mots, à lire et relire pour s'imprégner des différentes évocations.
RépondreSupprimerMerci ma chère Aubree!
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