Quand à
vol d’oiseau
Terreur d’un
lendemain s’éprend
La bouche
du néant engouffre
Les
espoirs lancinants
Nappe d’huile
sur un cœur en peine
Engluant
le peu de lumière demeurant
Rouage d’un
nuage mortel
Pleurant
de repentants
Faiblesse
diurne
Du côté
pile de la nuit
Triture à
l’infini
Le genou
des soumis
Sublime
terreur à l’odeur de soufre
L’innocence
de l’oubli offre à l’autre
Porte de
sortie du gouffre
Qu’est le
vide de ma vie
Éternel en
soupir
Peu de feu
en survie
Brûle l’incandescence
De ma déchéance
Spectacle
des damnés
Au banc
des possédés
Guichet
fermé
Balcon du
théâtre des opérations
Le voile
de minuit s’est enfin levé
Miroir en
exutoire espéré
Embûches en
culture
Fausse
lueur d’une lune de mes ennuis
Demain au
goût d’hier
Quotidien
en méridien
Rectiligne
D’une
guillotine
Solive en
support de rien
Dérive sur
la route des incertains
Barrage en
contrefort
Point à la
ligne
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