J'ai parlé aux lignes de ma vie
Constat d'une médiane en tremplin
Brusquement, lentement
Dans le soudain ressenti depuis longtemps
L'éclat d'un jour nouveau
Au puissance de miel et d'ébène
Savourer et humer ce fruit offert
Je voudrais tant
Dans le désir qui souffle
En effluve mordoré
Ses absences répétées
Me brûlent peau et cœur
Mains jointes en lignes unies
Mes yeux embrumés pointent l'infini
Pour qu'au final, tout soit commencement
Latence en attente, j'écoule le sable sans dormir
Afin d'y cueillir enfin, oui enfin...la cueillir.
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