Ciel de gris sur un ton de lavis
Le printemps en baume saisonnier
Parfume encore de son hiver
Les effluves de ce qui en réside
Vert en dormance de vouloir vivre
La saison blanche demeure
En persistance vaine
Car sous peu
Dans ce temps
De fonte des neiges
L'astre de chaleur en auréole dorée
Ouvrira le sol
De sa richesse endormie
Pour qu'à nouveau
Oui de nouveau
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