Nuage en aurore mordoré sur une veille de jour
Ciel qui étend ses premiers rayons sur les landes endormies
Miroir en écueil sur l'étang de brouillard à mes côtés
Je cueille le moment de mon présent
Feuilles en peine se divorçant de son arbre porteur
Valsent dans leur chute élégante
Pavant le sol de leur or teinté
Dressant le pas de la route à suivre
Récoltes en abondance
Coiffent les champs à tondre de leurs fruits
Portant richesse de bonté
Au cœur des amoureux du labour
Deuil d'une chaleur qui s'étiole
Contraste en contradiction
Transition d'un entre-deux
Sous le charme de cette beauté
Valsent dans leur chute élégante
Pavant le sol de leur or teinté
Dressant le pas de la route à suivre
Récoltes en abondance
Coiffent les champs à tondre de leurs fruits
Portant richesse de bonté
Au cœur des amoureux du labour
Deuil d'une chaleur qui s'étiole
Contraste en contradiction
Transition d'un entre-deux
Sous le charme de cette beauté
Bonheur en route de mon exil
Je tremble de froid sur le givre en devenir
L'automne en lueur d'avenir à bout portant
M'obligeant à me couvrir davantage que moins
M'obligeant à me couvrir davantage que moins
L'automne est ma saison préférée et de ce beau poème , je sens la fraicheur et la beauté de cette dernière.
RépondreSupprimerHeureux que ce poème, cueilli sur la route de ma destination vers le travail, te plaise! En effet, l'automne est déjà tout près, ou tout prêt... c'est selon ;)
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