Cadres ventilant sur un regard extérieur
Exhumant l’arôme d’un automne
M’imaginer nos chaumières sans leurs apparats
M’étouffe, m’angoisse
Sur la charpente de mon humble
Je leurs céderais l’intégralité
Faire des mes murs, des ouvertures
Pour inspirer le paisible, l’animer en pied de vent
L’ombre au tableau
Je ferais de mes voisins
Des voyeurs malgré eux!
C'est ce qui s'appelle faire de l'air!!! J'aime bien le parallèle entre les fenêtres et l'ouverture aux autres! C'est aussi très vrai qu'à l'automne, on étouffe avec les fenêtres fermées!
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