Au commencement absolu, l'invisible;
Aucun nom, aucune chose de sensible;Lorsque se dévoile le vide sans norme:
Le rideau s'ouvre sur l’entité sans forme.
L'Esprit qui but à la source de l’univers,
Puisqu'il est venu d’un loin point noir du néant,Habiter Gaïa quand fut l'astre exubérant:
Préparait un monde au destin embryonnaire…
L’indiscernable est né d’indicible lumière:
Béni soit celui qui crée
un Ciel sur la Terre!Divinité: viens-tu du val de Lao Tseu?
Pour la vie, le yin, le yang, l’eau dans le feu?
Viendrais-tu de la Première Convergence?...
Un bonheur/honneur de pouvoir te lire à nouveau! Ta plume en quête de réponse à une spiritualité certaine porte en soi l'audace d'une réponse en développement! Bon retour cher ami!
RépondreSupprimerMerci...
RépondreSupprimerJ'ai un peu ramé... Des cookies à récupérer... Cependant me voici de nouveau à flots. (y'a plus qu'à suivre les bons vents)
( Il semble que ton invitation à finalement rétabli le contact avec le blog)
J'ai bien visualisé avec vos mots, la beauté et le mystère du commencement de la vie et du sens que l'on cherche à lui donner.
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