Le vent dans son souffle d'hier
Pousse et glisse dans les filets à maillons
Gonflant de sa joue dorée
Le temps écoulé
Parfum en brume d'un autrefois
Givre en écho de mes fleurs fanées
Je tressaille en sursis
Le temps d'y survivre
Écueil dans l'antre de sa dérive
Abandonnant mes balises
Aux leurres d'antan
Voguant à nu sur une mer inconnue
Je boussole sur un cadran sans aiguille
Palpant l'espoir d'une rive accueillante
Au sable fin d'ocre en jaune clair
D'un naufrage salvateur
Mais comment fais-tu ? Tu n'as pas le temps et tu continus d'écrire de belles choses... Là... Je suis VRAIMENT jalouse !
RépondreSupprimerIl ne faut pas exagérer Gente Dame, ce ne sont que de tous petits mots sans prétentions alignés sur une feuille de papier!
SupprimerUn voyage dans le temps, sans boussole mais avec un crayon pour les fans!
RépondreSupprimerEt dérivant vers un autre nul part! Merci Gente Dame!
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