L'être en sublime contemplation
Fixe le néant de sa fortune
Regard en lointaine divagation
Il voyage sans se mouvoir
Porte à faux d'échafaudage
Lui importe peu
Car de confiance
Ses fondations abondent
De coutumes et de stabilité
Qu'importe, qu'importe
Le soleil de son astre
Qu'importe, qu'importe
Les avoirs en jachère
Qu'importe, qu'importe
Un vie prospère
Qu'importe, qu'importe
Quand en lui
Germe le gré
De son unique
Nécessité au fruit de félicité
Comme le doux refrain d'une belle chanson...
RépondreSupprimerMerci Gente Dame!!!
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