Tous les matins de l'hiver,
Denis prend sa vieille motoneige "Bombardier"
et parcourt une partie de sa terre
pour se rendre à son chalet de bois rond.
Papivore de nature, il aime être en solitude
pour se livrer à son passe-temps préféré.
En arrivant dans son petit pied-à-terre,
lequel se camoufle dans la pinède enneigée,
il doit chauffer le poêle à bois,
car les températures avoisinent souvent
les moins 20 degrés Celsius. Quelques mésanges
le saluent et lui réclament la portion de tournesol.
Habillé comme un oignon, certains diraient comme
un ours, il ne se dévêt pas, seulement
il enlève sa grosse mitaine pour frotter l'allumette.
Adroitement, il enfile les grosses bûches frigorifiées
dans la gueule du dragon. Quand la plaque
de fer se réchauffe, il faut bien attendre une quinzaine
de minutes, il y dépose deux belles grosses tranches
de pain de ménage, lesquelles il aplatit et retourne
avant de les badigeonner d'un beurre dur et salé.
Un vrai festin de roi!
La bouilloire siffle et s'obstine, un jet de vapeur
lui réchauffe les mains. Denis s'attable et sirote
un bon thé en mangeant ses toasts. Par la fenêtre,
un écureuil, curieux comme une fouine, fait le funambule
sur le bras de la galerie. Denis plonge la tête dans son livre...
Quand le feu se meurt et qu'un frisson le secoue,
il nourrit la bête... Autrement, Denis ne répond pas!
Tous les matins de l'hiver,
Denis prend sa vieille motoneige "Bombardier"
et parcourt une partie de sa terre
pour se rendre à son chalet de bois rond.
Papivore de nature, il aime être en solitude
pour se livrer à son passe-temps préféré.
En arrivant dans son petit pied-à-terre,
lequel se camoufle dans la pinède enneigée,
il doit chauffer le poêle à bois,
car les températures avoisinent souvent
les moins 20 degrés Celsius. Quelques mésanges
le saluent et lui réclament la portion de tournesol.
Habillé comme un oignon, certains diraient comme
un ours, il ne se dévêt pas, seulement
il enlève sa grosse mitaine pour frotter l'allumette.
Adroitement, il enfile les grosses bûches frigorifiées
dans la gueule du dragon. Quand la plaque
de fer se réchauffe, il faut bien attendre une quinzaine
de minutes, il y dépose deux belles grosses tranches
de pain de ménage, lesquelles il aplatit et retourne
avant de les badigeonner d'un beurre dur et salé.
Un vrai festin de roi!
La bouilloire siffle et s'obstine, un jet de vapeur
lui réchauffe les mains. Denis s'attable et sirote
un bon thé en mangeant ses toasts. Par la fenêtre,
un écureuil, curieux comme une fouine, fait le funambule
sur le bras de la galerie. Denis plonge la tête dans son livre...
Quand le feu se meurt et qu'un frisson le secoue,
il nourrit la bête... Autrement, Denis ne répond pas!
Denis prend sa vieille motoneige "Bombardier"
et parcourt une partie de sa terre
pour se rendre à son chalet de bois rond.
Papivore de nature, il aime être en solitude
pour se livrer à son passe-temps préféré.
En arrivant dans son petit pied-à-terre,
lequel se camoufle dans la pinède enneigée,
il doit chauffer le poêle à bois,
car les températures avoisinent souvent
les moins 20 degrés Celsius. Quelques mésanges
le saluent et lui réclament la portion de tournesol.
Habillé comme un oignon, certains diraient comme
un ours, il ne se dévêt pas, seulement
il enlève sa grosse mitaine pour frotter l'allumette.
Adroitement, il enfile les grosses bûches frigorifiées
dans la gueule du dragon. Quand la plaque
de fer se réchauffe, il faut bien attendre une quinzaine
de minutes, il y dépose deux belles grosses tranches
de pain de ménage, lesquelles il aplatit et retourne
avant de les badigeonner d'un beurre dur et salé.
Un vrai festin de roi!
La bouilloire siffle et s'obstine, un jet de vapeur
lui réchauffe les mains. Denis s'attable et sirote
un bon thé en mangeant ses toasts. Par la fenêtre,
un écureuil, curieux comme une fouine, fait le funambule
sur le bras de la galerie. Denis plonge la tête dans son livre...
Quand le feu se meurt et qu'un frisson le secoue,
il nourrit la bête... Autrement, Denis ne répond pas!
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