Très chère grand-mère,
c'est aujourd'hui ton anniversaire
et si tu veux te prêter au jeu,
j'aimerais faire un cliché joyeux
de nous deux, joue contre joue.
Il me semble que ce serait "chou"
d'avoir ce souvenir de nous,
cette photo que j'afficherais!
Tu sembles hésiter, mais pourquoi?
Est-ce la gêne, un possible regret
de ne pas être la belle d'autrefois?
Viens tout près, rapprochons nos joues,
ta physionomie me remplit de joie!
J'aime ton visage, tes pattes d'oie,
tes yeux vifs et toujours si doux!
Oui, comme ça, nos oreilles appuyées,
nos deux têtes s'acoquinent, complices.
Je t'entends à demi-mots, à l'étouffée,
me raconter comment le temps a tissé
sur toi cet ouvrage, cette broderie indéfinie.
Grand-mère, je te remercie,
tu m'as fait cadeau de toi, je t'apprécie.
Très chère grand-mère,
c'est aujourd'hui ton anniversaire
et si tu veux te prêter au jeu,
j'aimerais faire un cliché joyeux
de nous deux, joue contre joue.
Il me semble que ce serait "chou"
d'avoir ce souvenir de nous,
cette photo que j'afficherais!
Tu sembles hésiter, mais pourquoi?
Est-ce la gêne, un possible regret
de ne pas être la belle d'autrefois?
Viens tout près, rapprochons nos joues,
ta physionomie me remplit de joie!
J'aime ton visage, tes pattes d'oie,
tes yeux vifs et toujours si doux!
Oui, comme ça, nos oreilles appuyées,
nos deux têtes s'acoquinent, complices.
Je t'entends à demi-mots, à l'étouffée,
me raconter comment le temps a tissé
sur toi cet ouvrage, cette broderie indéfinie.
Grand-mère, je te remercie,
tu m'as fait cadeau de toi, je t'apprécie.
c'est aujourd'hui ton anniversaire
et si tu veux te prêter au jeu,
j'aimerais faire un cliché joyeux
de nous deux, joue contre joue.
Il me semble que ce serait "chou"
d'avoir ce souvenir de nous,
cette photo que j'afficherais!
Tu sembles hésiter, mais pourquoi?
Est-ce la gêne, un possible regret
de ne pas être la belle d'autrefois?
Viens tout près, rapprochons nos joues,
ta physionomie me remplit de joie!
J'aime ton visage, tes pattes d'oie,
tes yeux vifs et toujours si doux!
Oui, comme ça, nos oreilles appuyées,
nos deux têtes s'acoquinent, complices.
Je t'entends à demi-mots, à l'étouffée,
me raconter comment le temps a tissé
sur toi cet ouvrage, cette broderie indéfinie.
Grand-mère, je te remercie,
tu m'as fait cadeau de toi, je t'apprécie.
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