Dans l'étui à crayons, me suis trouvé,
prisonnier, immobile depuis midi.
Il fait noir!... Suis pas fatigué,
puis, y a des odeurs de chaufferie!
Mais j'ai le ventre plein d'charpies,
bourré d'rondelles de bois sec.
Ça chatouille, ça m'pique !
J'ai le cœur en miettes.
Silence de mort accablant!
Moi sur le côté, j'espère la cloche,
la cloche du lundi, tous ces bruits vivants,
ces enfants qui parlent, qui piochent.
En attendant, faut que l'temps passe.
Comme on dit, je n'ai pas le choix,
suis coincé dans une impasse...
la mine bien basse, n'en doutez pas!
Dans l'étui à crayons, me suis trouvé,
prisonnier, immobile depuis midi.
Il fait noir!... Suis pas fatigué,
puis, y a des odeurs de chaufferie!
Mais j'ai le ventre plein d'charpies,
bourré d'rondelles de bois sec.
Ça chatouille, ça m'pique !
J'ai le cœur en miettes.
Silence de mort accablant!
Moi sur le côté, j'espère la cloche,
la cloche du lundi, tous ces bruits vivants,
ces enfants qui parlent, qui piochent.
En attendant, faut que l'temps passe.
Comme on dit, je n'ai pas le choix,
suis coincé dans une impasse...
la mine bien basse, n'en doutez pas!
prisonnier, immobile depuis midi.
Il fait noir!... Suis pas fatigué,
puis, y a des odeurs de chaufferie!
Mais j'ai le ventre plein d'charpies,
bourré d'rondelles de bois sec.
Ça chatouille, ça m'pique !
J'ai le cœur en miettes.
Silence de mort accablant!
Moi sur le côté, j'espère la cloche,
la cloche du lundi, tous ces bruits vivants,
ces enfants qui parlent, qui piochent.
En attendant, faut que l'temps passe.
Comme on dit, je n'ai pas le choix,
suis coincé dans une impasse...
la mine bien basse, n'en doutez pas!
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