mercredi 15 avril 2015

Et non celui d'après...

Miel de rose, je peints de soleil de nuage sur une toile de 

volupté. Coussin bénéfique que ce bonheur passager, je 

m'égare au gré du sommeil qui me hante les paupières. 

Brume en songe, je divague de bleu et de jaune 

en arc-en-ciel 

de mosaïque en lavis bicolore.  Noyau en joyau, je pars en

moi telle une étoile chaste sur une valse délicate. Pourquoi 

donc, la vie peut-elle s'offrir en de si jolie teinte lorsque l'on 

hume? S'arrêter, oui, s'y arrêter et pourquoi pas... y prendre

 goût? Simplicité dans la choix qui est l'évidence... seul la

 complication se plait à nous rendre impossible ce délice

 suave qu'est l'instant présent et non celui d'après...

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