vendredi 17 avril 2015

Nycthémère

Légère ?
Volatile ?
Volage ?
Ses mœurs en écume
Brillent de leur absence
Sur un lit froissé en permanence
Par les nuits de sa passion menée 
Nycthémère en embrun
Sur un calendrier barbouillé
Désirs monnayés à coup de satisfaction
Brouille la nature même de son corps
À jamais usé...

4 commentaires:

  1. A jamais usé... Belle inspiration cher ami de la plume !

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  2. Ode poétique au rythme circadien et aux effluves sensuelles. Joli, très joli.

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