Nuée de vapeur blanche et
bleu
Schisme nuageux en parcelle de
soleil
Le temps irrégulier de son
sablier
Ponctuait sa nostalgie d’outre
temps
Et le céleste, du haut de son
promontoire,
Riait de cette grisaille
fébrile
Que composait cette masse
animée
Triste, mais pourtant sifflant
un hélas...
Terre en amalgame d’ocre et de
vert
Saturée de seconde
nature
Post-consommé du
créé
Par la souillure de cette
fausse intelligence
Créateur de besoin
en rebut devenu
Pleure de s’être
ainsi...
Dans le soudain qui surgit dans
l’évidence
Clair métal au rustre d’acier
chétif
Tonnerre ciblé ayant comme
cible
Notre graine d’humanité se vit
secouée, rabrouée
Pour qu’enfin,
enfin...
Étal de conscience puisse
gravir la cime
Et s’extirper de la bêtise
gangrenée
Qu’est devenue cette « société
»...
CASQUETTE BIEN BAS pour ces mots forts et plein de justesse ! Le triste constat de notre bêtise de bipèdes pensant !! BRAVOOO !!
RépondreSupprimerOuaip! Le dur constat que l'homme n'est que... homme! Merci Gente Dame!!!
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