jeudi 25 juin 2015

Compteur de zéro...

Nuée de vapeur blanche et bleu
Schisme nuageux en parcelle de soleil
Le temps irrégulier de son sablier
Ponctuait sa nostalgie d’outre temps
Et le céleste, du haut de son promontoire,
Riait de cette grisaille fébrile 
Que composait cette masse animée
Triste, mais pourtant sifflant un hélas...

Terre en amalgame d’ocre et de vert
Saturée de seconde nature
Post-consommé du créé
Par la souillure de cette fausse intelligence
Créateur de besoin en rebut devenu
Pleure de s’être ainsi...

Dans le soudain qui surgit dans l’évidence
Clair métal au rustre d’acier chétif
Tonnerre ciblé ayant comme cible
Notre graine d’humanité se vit secouée, rabrouée
Pour qu’enfin, enfin...
Étal de conscience puisse gravir la cime 
Et s’extirper de la bêtise gangrenée
Qu’est devenue cette « société »...



2 commentaires:

  1. CASQUETTE BIEN BAS pour ces mots forts et plein de justesse ! Le triste constat de notre bêtise de bipèdes pensant !! BRAVOOO !!

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    1. Ouaip! Le dur constat que l'homme n'est que... homme! Merci Gente Dame!!!

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