mercredi 4 mars 2015

Vert tendre, Vert intime






Déchirures dénudées sur une végétation décoiffée
L’insaisissable d’une intimité fracturée
Banni ou rescapé
Retrouvaille en peau
Le vert ce nuance  de gifles bariolées
Sur des épidermes glacials
Inconfort d’être spectateur
Je quémande des pieds de vents sur la chair
Figé en statut de seul
Au monde

6 commentaires:

  1. Pieds de vent sur la chair..... Magnifique!
    Statue de seul au monde, aussi magnifique!

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  2. L'unicité de deux corps unifiés... pour le plaisir ou pour... Belle poésie qui chante les louages de l'union.

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  3. Très jolis jeux avec les mots, à lire et relire pour s'imprégner des différentes évocations.

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