lundi 19 janvier 2015

rêveries

Des désirs suspendus, camouflés dans des penderies de clin d’œil muets
S’éteignent dans du papier Chiffonné  
Sur ce lit, vide de sens, mon corps se confesse à bout de souffle
Allusions, rêveries en cages.
La sagesse m’observe et se tourmente pour mon âme  
L’intimité m’inspire et camoufle la vertu
Ce  jardin mystérieux, intense profondeur d’un monde inventé
Reflète la magie,
D’une liberté dans l’irréel.

1 commentaire:

  1. J'aime bien cette rêverie!!!Elle a quelque chose de joyeux qui nous fait croire en mieux ce que le quotidien nous offre!!! Bravo!!!

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